Gérer ses émotions : la dépression

Cette période de pandémie est propice à la sidération : tout d’un coup, l’ordre des choses se trouve bouleversé, notre mode de vie menacé, le futur grandement incertain. Toute euphorie oubliée, le risque est de tomber dans le désespoir, la peur ou la dépression. 

Une femme sur son lit la tête dans les genoux

Si toute émotion est dotée d’une fréquence, les émotions de peur, de colère ou de désespoir sont, elles, dotées des fréquences les plus basses. Elles vibrent dans le manque : pas d’espoir et pas de projection vers le futur, mais pas de ‘pression ‘ non plus pour vivre ce qu’il y a à vivre au présent ! De telles émotions peuvent conduire à l’apathie qui vibre à 50 hertz et se traduit par une absence de mouvement, d’énergie et de vitalité face à la vie. 

Heureusement, pourrait-on dire, parfois la pression des échéances, des urgences, nous extrait de notre état de dé-pression et nous pousse à l’action. L’action étant mouvement, c’est une bonne chose et ce peut être un bon début si l’on enchaîne ensuite sur d’autres initiatives, de l’exercice par exemple.

L’influence de l’âme sur l’état d’âme

La plupart de nos maux proviennent de l’esprit qui a un pouvoir réel sur le psychisme, les émotions et le corps. Si les Orientaux sont familiers avec cette idée, de nombreux occidentaux et courants alternatifs et holistiques de santé l’ont également adoptée. 

Nous ne sommes pas d’abord et uniquement des êtres biologiques, mais d’abord et avant tout des êtres spirituels. C’est-à-dire que notre conscience, nos croyances quant à ce que nous pouvons, devons ou allons réaliser est plus décisive que les événements que nous voyons se dérouler sous nos yeux à un instant donné. Quoiqu’il se passe à l’extérieur, notre conscience et nos croyances fabriquent directement notre climat intérieur, ainsi que les sentiments qui nous abattent ou nous relèvent.

Oser l’affirmation, tenter la pensée positive

Alors même si l’on n’est pas sûr d’y adhérer totalement, il vaut peut-être la peine d’essayer une nouvelle croyance comme on essaie un nouveau costume ou une nouvelle coiffure. Se choisir et s’affirmer beaux et généreux, capables, dignes d’être aimés et d’aimer, par exemple.

Se le dire et se le répéter, puis jouer chaque scène du jour avec cette conscience, comme un acteur libre de créer sa vie. Le sentir, le dire, le faire. Se mettre dans le personnage. Cela va impacter notre tenue, notre regard et notre climat intérieur. 

Essayez, et dites-nous ce que vous en avez pensé !

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